Quels rapports entretiennent les femmes avec leurs jambes ?

Plus de 4 femmes sur 10 ont des problèmes de jambes liés à des troubles veineux, faisant de la maladie veineuse chronique une pathologie largement répandue. Les répercussions sont loin d’être anodines, affectant tout à la fois l’activité physique (54%), le sommeil (45%), l’humeur (34%), l’activité professionnelle (24%) et la confiance en son pouvoir de séduction (16%).
Les hommes ne sont pas épargnés, puisqu’1/5ème d’entre eux se plaignent de douleurs, lourdeurs et picotements, mettant à mal l’idée selon laquelle seules les femmes sont touchées.
A l’occasion du lancement de son nouveau produit GINKOR Frais gel, qui vient compléter la gamme GINKOR dans le traitement symptomatique de la maladie veineuse chronique, le laboratoire Tonipharm a commandé une étude BVA/GINKOR pour connaître le rapport qu’entretiennent les femmes avec leurs jambes. Menée par téléphone auprès de 1.047 femmes et 967 hommes, l’enquête souligne l’importance, tant dans ses répercussions physiques que psychologiques, d’une maladie pourtant souvent considérée comme bénigne.
Des jambes douloureuses pour 42% des Françaises
Un peu plus de 4 femmes sur 10 souffrent de leurs jambes, dont la moitié de manière fréquente. Contrairement aux idées reçues, la maladie veineuse touche également les hommes qui sont 19% à s’en plaindre.
Autre idée à battre en brèche, l’âge des femmes concernées : les seniors sont loin d’être les plus affectées par cette pathologie (44% de 65 ans et plus), les plus touchées ayant entre 35 et 49 ans (48%). Être jeune ne prémunit pas davantage contre la maladie puisqu’1/3 des moins de 25 ans souffrent souvent ou parfois de troubles veineux.
Les femmes qui ont des enfants sont plus touchées que les autres (45% contre 35%).
Hommes et femmes, jeunes et moins jeunes, tout le monde peut être touché par la maladie veineuse chronique.
Trop longtemps assises, trop souvent debout
Plus d’un quart des femmes (28%) souffrant de leurs jambes estiment passer plus de 4 heures par jour debout sans bouger et une sur cinq (21%) reste au moins aussi longtemps assise, jambes croisées.
Facteurs de risque de la maladie veineuse bien connus des professionnels de santé, rester debout sans bouger ou en piétinant, ou au contraire assis, jambes croisées, de façon prolongée, sont les 2ème et 3ème causes de jambes lourdes et douloureuses citées par les femmes qui en souffrent (respectivement 31 à 36% si l’on tient compte de l’âge, et 14%). La chaleur, quelle que soit sa source (cire chaude, soleil, bain chaud, chauffage par le sol), arrive en tête, mentionné par 41% des femmes âgées de 35 à 49 ans.
Les problèmes de circulation, l’hérédité, certains médicaments, les troubles hormonaux, la grossesse sont autant de situations susceptibles de favoriser les troubles veineux, mais dans des proportions moindres.
Un retentissement tant physique que psychologique
Ces problèmes de jambes ont non seulement un impact physique, en limitant les activités physiques de la majorité des femmes qui en souffrent souvent (54%), mais également des répercussions psychologiques, puisqu’un tiers d’entre elles estiment que leur humeur en est affectée.
Ces douleurs, lourdeurs et picotements caractéristiques de la maladie veineuse perturbent également le sommeil des femmes touchées (près de la moitié de celles qui en souffrent souvent), et ont chez un quart d’entre elles des répercussions sur leur travail.
Loin d’être mineur, l’impact des troubles veineux sur la confiance des femmes en leur pouvoir de séduction (16%) met en lumière l’importance qu’accordent les femmes à leurs jambes et la gêne qui peut naître d’une maladie pourtant considérée comme bénigne.
Les jambes, un atout de séduction majeur

Armes de séduction pour la grande majorité des personnes interrogées (68%), les jambes représentent la deuxième partie du corps que les femmes préfèrent, devant les seins et les fesses (respectivement 24%, 16% et 6%). Les hommes approuvent, 1/3 d’entre eux considérant les jambes comme le principal atout de séduction des femmes. C’est dire l’importance accordée à cette partie du corps.
De belles jambes, ce sont avant tout des jambes fines (32%), longues (25%) et musclées (22%). Un avis que les hommes partagent, même s’ils avouent leur préférence envers les jambes hâlées (17%) plutôt que musclées.
Interrogées sur ce qu’il faudrait pour qu’elles soient plus à l’aise avec leurs jambes, un tiers des femmes ont évoqué la disparition de leurs varicosités, cette proportion atteignant la moitié des femmes souffrant de problèmes de jambes. Ces dernières rêvent également plus que les autres de jambes minces, leurs réponses révélant la gêne occasionnée par ces petites veines apparentes disgracieuses.
Une garde-robe adaptée !
D’ailleurs, le choix des vêtements est lui aussi très révélateur de la souffrance psychologique qu’engendrent les varicosités puisque plus de la moitié des femmes qui en ont ne conçoivent pas de porter des robes ou des jupes sans collants, et leur préfèrent bien souvent les pantalons. A l’inverse, la population féminine indemne de ce problème répond en ce sens parfaitement aux attentes des hommes et montre volontiers ses gambettes (70% des hommes interrogés avouent un faible pour les robes et les jupes, particulièrement lorsqu’elles sont courtes -40%-) !
Les chaussures à talons arrivent en tête des accessoires privilégiés par les femmes pour mettre en valeur leurs jambes (42%), particulièrement chez les plus jeunes (plus de la moitié des 15-24 ans). Suivent le port de bas et/ou de collants (qui reste une valeur sûre chez les plus âgées – 41% des 65 ans et plus, et 27% de l’ensemble des femmes interrogées) et, loin derrière, l’application d’autobronzant (7%).
Source : Laboratoire Tonipharm – Ginkor